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    Il est plus petit que ses grands frères l'Arc de Triomphe et la Grande Arche de la Défense.

    Construit en 1806, d’après les dessins de Percier et Fontaine, l’arc de triomphe est une imitation de l’arc de Septime Sévère à Rome à la gloire de la campagne de 1805 de Napoléon. Les bas-reliefs en marbre représentent les différentes victoires impériales en particulier celles d’Austerlitz.

     






     


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  • Au centre de la place de la bastille, afin de commémorer les journées insurrectionnelles de 1830.

    Elle fut construite à partir de 1833, en hommage aux révolutionnaires de 1830, puis de 1848.

    Louis-Philippe décide en 1833 de construire la Colonne de Juillet, déjà prévue en 1792, mais pour, cette fois, commémorer les "Trois Glorieuses" les trois journées" de 1830. construite et décorée en 1839 par l'architecte Louis Duc, elle est inaugurée en 1840. 

     

    Elle a à son sommet une statue représentant le Génie de la Liberté, qui repose sur un socle et une forme de bassin circulaire réalisé sous le premier empire  afin d'accueillir une fontaine avec une sculpture d'éléphant en son centre, mais la sculpture ne fut jamais réalisée, faute de crédit en raison des guerres.

    Dans les fondations furent aménagés des caveaux funéraires destinés à abriter les ossements des 504 victimes de juillet 1830. Véritable ossuaire, le sous-sol de la colonne reçut aussi près de 200 corps de la Révolution de 1848.


     

     



     


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  • Petite histoire

    Le Théâtre de la Comédie

    L’Opéra était jadis situé à l’emplacement de l’actuel Musée des Beaux-Arts, place Stanislas. Ce Théâtre de la Comédie, construit en 1758 sur l’initiative de Stanislas, fut totalement détruit par un incendie dans la nuit du 4 au 5 octobre 1906.

    La reconstruction

    Sa reconstruction fait naître toute une série de polémiques quant à son nouveau point d’ancrage. Par rapport au développement de la ville, certains souhaiteraient un Opéra plus central ; mais pour beaucoup, il semble primordial de conserver la scène lyrique au cœur du quartier historique construit pendant les années fastes de Stanislas.
    La séparation de l’Etat et de l’Eglise offre une solution inespérée. En 1909, l’Etat prend possession de l’Hôtel des Fermes – ancienne propriété de l’Evêché – et permet ainsi de maintenir les activités lyriques place Stanislas.

    Le Palais Hornecker

    Dès 1906, le concours d’architecte est lancé. Les Nancéiens plébiscitent le projet Art Nouveau d’Emile André, mais c’est l’Alsacien Joseph Hornecker que le jury décide de couronner. Son théâtre à l’italienne, pastiche d’un Opéra du XVIIIème siècle, convient davantage aux standards académiques de l’époque.

    Le nouveau Théâtre est inauguré le 14 octobre 1919 sous les applaudissements du public qui salua tant l’œuvre de l’architecte que la compagnie de l’Opéra qui donna, ce soir-là, une représentation de Sigurd’ de Reyer.

    La restauration

    En 1994, sous la direction de Thierry Algrain – architecte des Monuments historiques – l’Opéra fait l’objet d’une grande restauration dont l’objectif est de recréer à l’identique la salle telle qu’elle était le jour de son inauguration il y a un peu plus de 80 ans.

    Le label d'Opéra national

    Le 1er janvier 2006, le Ministère de la Culture et de la Communication attribue à la scène lyrique nancéienne le label d’Opéra national. L’Opéra de Nancy et de Lorraine devient ainsi, après Lyon, Bordeaux, Strasbourg et Montpellier, le cinquième Opéra national en région.
    Cette distinction constitue une véritable reconnaissance de la qualité du travail artistique et des compétences des équipes de l’Opéra national de Lorraine.

    La salle

    La salle contient 1014 places et se compose d’un parterre avec loges d’orchestre, d’un balcon, de deux galeries, d’un poulailler et d’un plafond plat « décollé ». Grâce à l’utilisation du béton pour sa construction, les balcons peuvent tenir sans colonnes, évitant ainsi de nombreuses places aveugles. Réalisée dans les tons de rouge, or et blanc, décorée de stucs, d’ornements et de statues, l’unité de la salle est particulièrement remarquable.

     

    La scène

    La scène est composée d’un plateau, d’un cadre de scène et d’une machinerie qui ne fonctionne quasiment que manuellement. Seuls les rideaux de fer et le rideau rouge sont actionnés de manière électrique. Le cadre de scène mesure 10 mètres de haut et deux espaces de 10 mètres au-dessus et 10 mètres au-dessous permettent le déplacement vertical et latéral des décors. Un système de trappes peut notamment faire apparaître et disparaître un artiste en un clin d’œil…

     






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  • 20.03.2008





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