• Ce matin nous avons décidé de faire une promenade et du shopping dans la ville en tuk tuk, super sympa, notre chauffeur avait une bonne tête, ils nous arrêtaient selon notre demande et nos achats. A conseiller...

    tuk-tuk.JPG   tuk-tuk-1.JPG

     

     

    fleurs004.gif

     


    4 commentaires
  •  

     

     

                La fabrication de la laque est une illustration de la patience asiatique puisqu’il faut plusieurs mois pour réaliser un objet, selon les techniques traditionnels encore en usage. La matière première est une résine marron qui devient noire au contact de l’air est recueillie dans la forêt par les Karens. Elle est appliquée, par couches successives (1ème couche argile + laque – 9 ou 10 couches de laque en tout mises au pinceau avec une semaine de séchage entre chaque couche), sur un objet en bois (teck) ou en vannerie (bambou), les objets sont polis avec un mélange d'argile et de cendre, les couches de laque mettent environ trois mois à sécher dans une atmosphère entretenant une humidité optimale. Les techniques évoluent sans sacrifier à la facilité : les laques à base de coquille d’œuf (canne blanc – poule jaune) concurrencent désormais les objets dorés à la feuille (sur l’objet on décalque un pochoir (dessin) – le tour du dessin est peint, sur le motif on met de la colle, les feuilles d’or dessus et le tout dans l’eau 5 mn et on essuie avec une éponge souple), artisanat délicat empruntant à la technique du batik (la colle remplaçant la cire qui s’utilise pour le tissu). Les objets sont peints avec de la peinture acrylique et des petits cornets à bouts très fins qui permettent ’une grande précision. Les objets en nacre (collée avec de la cire ou motif sculpté dans le bois et incrustation de la nacre). On trouve dans les boutiques spécialisées, de nombreuses laques anciennes qui proviennent, pour la plupart, de Birmanie.

    laque-copie-1.JPG   magasin-de-laque.JPG
     
















     


    rdcr1buo.gif


    2 commentaires
  •  

    penché, endroit...

     


     

    asie003-copie-2.gif


    votre commentaire
  •  

     

     

    Le site, prière de pencher la tête !!!

    asie006.gif

     


    votre commentaire
  • P1030790.JPG

    Sa visite s'est faite dans une atmosphère fantastique, il y avait du brouillard sur la partie haute qui le rendait encore plus mystérieux, il est magnifique et les Thaïs le lui rendent bien



    P1030816.JPG

    Les offrandes à Bouddha dans tous les temples sont :

     

    1 fleur de lotus que l’on dépose dans un vase, 1 feuille d’or que l’on colle sur la statue de bouddha, 1 bougie et des bâtons d’encens que l’on brûle.

    P1030800.JPG   P1030809.JPG

     

    des moines peuvent vous bénir et un aide au moine vous met un bracelet en chanvre que vous devez garder entre 3 et 8 jours, ensuite vous l'enlevez et le conservez dans un endroit qui vous porte chance.

     

    P1030810.JPG

    tt--23-.gif

     


    2 commentaires
  •  

    P1030769.JPG














    Accès escalier de 306 marches.



      P1030778.JPG

     

             





    en haut des marches.



    Le Doï Suthep est une colline dominée par un monastère très vénéré, le Wat Phrathat Doï Suthep, qui dresse son chedi et ses parasols dorés à 1 050 m d’altitude. Il a fallu 172 jours pour construire, en 1934, la route actuelle qui permet d’y accéder. Beaucoup de visiteurs dédaignent le funiculaire, préférant monter à pied et terminer l’ascension par un escalier de 306 marches, jonché de fleurs de frangipaniers, gardé de part et d’autre par un naga féroce aux écailles de céramique.

      P1030783.JPG  entrée.

             Le choix de ce site merveilleux est dû à la perspicacité d’un éléphant blanc qui, chargé par le roi Kuena (XIVème s.) de choisir un endroit propice pour y ensevelir une relique de Bouddha, s’arrêta brusquement au DoI Suthep et mourut. Le signe était incontestable : on construisit un chedi pour la relique, embelli et enrichi par les souverains successifs de Chiang Maï.

    P1030818.JPG   P1030787.JPG

     

             Le Wat Phrathat Doï Suthep montre, dans son architecture et dans son atmosphère, une nette influence birmane. Le chedi doré, haut de 24 m, domine une plate-forme où évoluent, silencieux et nu-pieds, les fidèles et les visiteurs. Quatre gracieux parasols en cuivre doré monte la garde autour du chedi. Les galeries entourant l’esplanade abritent des Bouddhas de provenances diverses, dont plusieurs originaires de Sukhothaï et Chiang Saen. Les réfections permanentes ont fini par altérer l’intérêt purement historique du wat, notamment certaines fresques néo-réalistes peu gracieuses qui font regretter les belles patines que eussent méritées les peintures murales des chapelles... Mais l’ambiance reste unique, comme chargée de spiritualité, halte intemporelle au-dessus des vicissitudes du monde.

    P1030788.JPG

     

             









    Vous mettez dans la coupelle qui se trouve devant la statue de votre jour de naissance de l'huile, tout en faisant une prière.


    On peut visiter une petite taillerie de jade, en bas de l’escalier. Cette pierre, entourée de mystère, fait l’objet de contrebande depuis la Birmanie. Les lieux d’extraction sont tenus secrets et l’on y travaille la nuit. Les négociations sont également soigneusement dissimulées et les offres de prix s’effectuent les mains cachées sous une étoffe. Le jade est encore transporté à dos d’éléphant jusqu’aux lieux de commerce. On distingue la néphrite (matériau du Bouddha d’Emeraude) et la jadéite qui est un silicate de sodium et de magnésium, plus dure et plus précieuse que la néphrite. La serpentine et l’aventurine appartiennent à la famille du jade.
     


    tt-1-copie-1.gif

     

     


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique