Haut lieu de pélerinage, il fut cconstruit en 1973 à l'aide de matériau venu des 4 coins du pays. L'entrée du mausolée regarde la place Ba Dinh, où hô Chi Minh prolama l'indépendance du pays le 2 septembre 1945.

Il y a une ligne à ne pas dépasser autrement, gare à vous, vous êtes vite remis à votre place par des gardes qui ne rigolent pas.

Au nors du mausolée se trouve le palais présidentiel qui servait de résidence au gouverneur général de l'Indochine.

Aussi appelée pagode du lac de l'ouest, elle serait la plus ancienne du Vietnam, érigée en l'an 545, ses pavillons occupent une presqu'ile et ses calmes jardins s'ouvrent sur le lac. En plus du statuaire bouddhiste traditionnel, on y trouve une stèle datée de 1639.

Elle fut restaurée au XVème siècle.

Selon une légende, le lac était autrefois un emplacement boisé qui servait de repaire à un renard à neuf queues. Ce monstre malfaisant fut noyé par le roi Dragon qui, en déclenchant les flots, creusé le lac.

Un petit bout de la ville immense.

Erigé en 1070, il est dédié à Confucius. Six ans après la première université du pays s’y attacha, et accueillit les futurs mandarins pendant plus de 7 siècles.

A l’entrée une stèle invite les visiteurs à descendre de cheval.

La porte et l’allée centrale étaient réservées au roi, les mandarins empruntaient les voies latérales.  Ensuite vous passez 5 cours en enfilade.

Passé les deux premières, on atteint le pavillon Khuê Van Cac (de la pléiade) qui mène à la cour des stèles. Il y en a 82 posées sur des tortues de pierre. Les noms de 1306 docteurs y sont gravés en caractères chinois.

La cour est rafraîchie par le puits Thiên Quang (de la clarté-céleste). Après la porte Dai Thanh (de la grande réussite)  se trouve le temple principal supporté par 40 colonnes de bois laqué rouge, au centre desquelles trône la tablette votive de Confucius. La dernière cour abritait l’université.

Lors de notre visite, c’est la tradition, de jeunes gens bacheliers fraîchement diplômés dans leurs tenues, posent pour les photos, très heureux que nous les prenons nous aussi.