• EGYPTE - LA FAUNE ET LA FLORE

    L’avifaune est abondante dans le delta. Les marais salants et lacs saumâtres qui longent la côte attirent d’immenses colonies d’oiseaux migrateurs. Les hérons, les aigrettes, les martins-pêcheurs, les marabouts, les vautours, les passereaux, les loriots, les flamants, les pélicans, les oies. Les mammifères : chauve-souris, chacals, gazelles du désert, ânes sauvages, chameaux, mulets. Les récifs de la mer Rouge sont réputés auprès des plongeurs du monde entier pour la diversité de leur étonnante vie sous-marine, invertébrés, coraux, requins, raies, mérous, murènes.

    Le dattier, l’un des emblèmes de l’Egypte, pousse dans tout le pays, notamment dans les jardins et les cours. Dans les oasis du désert occidental, des milliers de dattiers fournissent à la population l’alimentation de base.


    OUM KALSOUM

    La voix féminine que vous entendrez chanter des complaintes égyptiennes dans votre hôtel, à la radio, dans le bus ou le taxi est vraisemblablement celle d’Oum Kalsoum (l’astre de l’Orient). La chanteuse égyptienne, disparue en 1975, a profondément influencé la musique égyptienne moderne, mais aussi celle de tout le monde arabe. Devenue célèbre à un tournant de l’histoire de l’Egypte, elle est toujours perçue comme l’une des voix du peuple égyptien.

    Plantes de l’ancien Monde 

    Utilisé par les anciens Egyptiens pour fabriquer le premier papier du monde, le papyrus ne pousse plus en abondance au bord du Nil, mais on peut le découvrir dans les jardins botaniques, comme celui de l’île Kitchener – ou île des Fleurs – à Assouan. Sacrée pour les pharaons, la fleur de lotus figure couramment sur les peintures et dans la statuaire, notamment sur les chapiteaux de colonnes. On peut admirer des fleurs de lotus dans la région marécageuse du delta du Nil.

     

    Pur-sang arabes

    On considère que les chevaux représentés sur des inscriptions égyptiennes remontant à 1400 av. JC. Seraient les ancêtres de l’espèce dénommée aujourd’hui arabe. Dans le haras d’Al-Zahraa, à 20 km du centre du Caire, rassemble plus de 250 juments et 130 étalons. Le haras est le premier d’Egypte, employant 2 000 personnes.


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  • Commentaires

    4
    loulou
    Jeudi 13 Septembre 2012 à 16:30
    loulou
    ton site è pa mal jé trouvé plin dinformassion pour mon exposé.
    3
    Jeudi 10 Avril 2008 à 22:56
    sylvie8454
    QQS INFOS POUR TON EXPOSE - TIENS MOI AU COURANT DU RESULTAT.

     

    Si l'Égypte est à 94 % désertique, elle n'en abrite pas moins divers écosystèmes qui se sont adaptés à des conditions particulièrement hostiles LOTUS – PAPYRUS – PALMIERS – TAMARIS – ACACIAS – JARACANDAS – POINCIANAS - MANGROVES...

     
    Il existe en Egypte une faune et une flore qui valent la peine d'être connues.
    L'incontournable papyrus que vous rencontrerez sous toutes ses formes pousse dans la vallée du Nil, tout comme le lotus et bien sûr les palmiers.
    Mais les tamaris, qui embaument au printemps, les grands acacias aux grappes jaunes ou blanches qui se balancent mollement, les jacarandas et les poincianas font eux aussi partie de la flore égyptienne.

     

    Le soleil brûle l'Egypte d'un bout à l'autre de l'année; il ne tombe que de rares pluies d'orages. Mais, d'octobre à août, les eaux du Nil montent : c'est la crue annuelle. La vallée et les cultures sont inondées et lorsque l'eau se retire, on remarque des limons noirs fertiles qui sont des engrais très précieux pour les cultures et facilitent la végétation du bord du Nil.

    Les plantes cultivées étaient essentiellement des céréales : blé, orge, mais aussi des légumes : fèves, lentilles. Le lin et la vigne poussaient également très bien dans le pays. La plante la plus répandue en Egypte est cependant le papyrus. Cette plante royale, symbole de la joie, sceptre magique des déesses est surnommé l'or vert du delta. En effet, celui-ci sert à la fabrication d'une multitude d'objets : sandales, pagnes, couffins... Il joue aussi un rôle important dans la navigation puisqu' il est utilisé pour calfater les bateaux, fabriquer des voiles et des cordages. 

     La végétation aux environs du Lac Nasser s'est modifiée à la suite de la construction du barrage. En effet, bien qu'on ne connaisse pas complètement l'impact écologique de celui-ci, on peut tout de même discerner des côtés positifs et des côtés négatifs. En effet, il a permis l'arrêt des crues dévastatrices du Nil, l'exploitation de nouvelles terres par irrigation, la production d'électricité et l'amélioration de la navigation. Cependant, le barrage est responsable de la rétention du limon en amont, ce qui provoque l'appauvrissement des sols en aval et nécessite l'emploi d'engrais chimique.

     

    Chaque année, en juillet, le niveau de l'eau du Nil commençait à monter (" Akhet " : saison de l'inondation). C'était le début de la crue, due à la fonte des neiges. Comme le pays était inondé, l'agriculture était impraticable et les paysans avaient peu à faire. Ainsi, ils travaillaient à la construction des temples ou des pyramides, pour le pharaon. Vers la fin de l'année (" peret " : hiver) et les paysans se remettaient aussitôt au travail dans les champs. Ils brisaient le sol lourd pour rendre le labourage plus facile. Les champs étaient labourés, les champs sarclés. Les semeurs répandaient le grain que les animaux piétinaient dans le riche sol humide. Afin de diriger l'eau dans les endroits secs, il fallait former des canaux d'irrigation. Tandis que la récolte poussait (" chemou " : été) , les percepteurs arrivaient et fixaient la somme que devait payer chaque paysan au pharaon. Fin mars, ils moissonnaient, avec des faucilles à lame de silex. Des ânes transportaient le blé jusqu'à l'aire de battage. Le bétail était conduit à travers le blé pour séparer le grain de la balle. Les grains alors entreposés, le temps redevenait très chaud et les paysans attendaient impatiemment la prochaine crue.

     

    Les paysans formaient la majorité de la population égyptienne et étaient à l'origine de la richesse du pays. L'année agricole se divisait en trois périodes : la saison des inondations, la saison des récoltes et la saison intermédiaire.

    Lors de la première saison, les paysans ne s'occupent plus de leurs terres car elles sont inondées. C'est la crue d'été, d'août en septembre, où les paysans étaient employés sur les chantiers du pharaon à la construction des temples et des pyramides. Ils ne touchaient alors pas de salaires mais recevaient gratuitement l'eau, les céréales, les vêtements et les outils nécessaires à leur travail. Cette organisation faisait l'objet d'une intendance scrupuleusement surveillée par un cohorte de scribes.

    Puis, en octobre, ils labouraient leur champ à l'aide d'une houe (sorte de pioche) ou d'un araire (ancêtre de la charrue) et semaient le grain dans une terre meuble et humide. Enfin, en avril et mai, la saison des récoltes commençait. Puis revenait la crue. Cependant, l'existence des paysans était difficile. Comme la terre appartenait au pharaon, tous les ans, ses fonctionnaires (les scribes) percevaient les impôts pour le roi ou les prêtres. Celui qui ne pouvait pas payer était battu, mis en prison ou pire, était tué. L'aliment de base était le pain que l'égyptienne faisait avec le grain de son entrepôt et broyait entre deux pierres, puis elle mêlait la farine et l'eau et formait des miches. Ils élevaient du bétail, des moutons, des chèvres et cultivaient des légumes. Ils buvaient la bière qu'ils faisaient eux-mêmes.

     Lors de la saison intermédiaire, ou nili, qui correspond à la période de juillet à octobre, une troisième culture permet d'être intercalée. Ceux sont en général des fruits et des légumes, qui dépendent de la précocité de la culture précédente. La tomate était alors le fruit le plus répandu, à côté de la pomme de terre, des figues et autres pastèques, bananes, grenades, mangues, dattes...

    BON EXPOSE
    2
    Jeudi 10 Avril 2008 à 21:49
    bonjour tu as l'air a bien t'y conaître dans l'Égypte j'aurais une question connais la végétation de l'Égypte c'est pour un exposé oral merci d'avance
    1
    Dimanche 16 Mars 2008 à 16:57
    sylvie84
    merci louise, reviens quand tu veux.

    cdlt
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