• Michelle, ma belle
    These are words that go together well
    My Michelle

    Michelle, ma belle
    Sont des mots qui vont très bien ensemble
    Très bien ensemble

    I love you, I love you, I love you
    That's all I want to say
    Until I find a way
    I will say the only words I know that
    You'll understand

    Michelle, ma belle
    Sont des mots qui vont très bien ensemble
    Très bien ensemble

    I need you, I need you, I need you
    I need to make you see
    Oh, what you mean to me
    Until I do I'm hoping you will
    Know what I mean

    I love you

    I want you, I want you, I want you
    I think you know by now
    I'll get to you somehow
    Until I do I'm telling you so
    You'll understand

    Michelle, ma belle
    Sont des mots qui vont très bien ensemble
    Très bien ensemble

    I will say the only words I know that
    You'll understand, my Michelle




    Michelle ( beatles ) - wideo
    Video qui montre comment jouer la chanson Michelle en guitare.
    Video de lyosse


    Michelle, ma belle

    Sont des mots qui vont très bien ensemble

    Ma Michelle



    Michelle, ma belle

    Sont des mots qui vont très bien ensemble

    Très bien ensemble



    Je t'aime, je t'aime, je t'aime

    C'est tout ce que je veux te dire

    Jusqu'à ce que je trouve un moyen

    Je dirai les seuls mots que je sais que

    Tu comprendras



    Michelle, ma belle

    Sont des mots qui vont très bien ensemble

    Très bien ensemble



    J'ai besoin de, j'ai besoin de, j'ai besoin de

    J'ai besoin de te faire voir,

    Oh, ce que tu signifies pour moi

    Jusqu'à ce que je le fasse, j'espère que tu

    Sauras ce que je veux dire.



    Je t'aime !



    Je te veux, je te veux, je te veux.

    Je pense que tu sais, désormais

    Je t'aurais d'une certaine façon

    Jusqu'à ce que ça arrive je te dis afin que

    Tu finisses par comprendre



    Michelle, ma belle

    Sont des mots qui vont très bien ensemble

    Très bien ensemble



    Je dirai les seuls mots que je sais que

    Tu comprendras, ma Michelle.







    Michelle ( beatles ) - wideo
    Michelle ( beatles ) - wideo






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  • Hey Jude, don't make it bad.
    Take a sad song and make it better.
    Remember to let her into your heart,
    Then you can start to make it better.

    Hey Jude, don't be afraid.
    You were made to go out and get her.
    The minute you let her under your skin,
    Then you begin to make it better.

    And anytime you feel the pain, hey Jude, refrain,
    Don't carry the world upon your shoulders.
    For well you know that it's a fool who plays it cool
    By making his world a little colder.

    Hey Jude, don't let me down.
    You have found her, now go and get her.
    Remember to let her into your heart,
    Then you can start to make it better.

    So let it out and let it in, hey Jude, begin,
    You're waiting for someone to perform with.
    And don't you know that it's just you, hey Jude, you'll do,
    The movement you need is on your shoulder.

    Hey Jude, don't make it bad.
    Take a sad song and make it better.
    Remember to let her under your skin,
    Then you'll begin to make it
    Better better better better better better, oh.

    Na na na nananana, nannana, hey Jude.




    Hey Jude,

     

    ne gâche pas tout,

    Prend une chanson triste et rend la meilleure.

    Souviens-toi qu'il faut la mettre dans ton cœur,

    Après seulement les choses iront mieux.

     

    Hey Jude, ne soit pas effrayé,

    Tu es né pour la faire tienne,

    Dès que tu l'auras dans la peau,

    Après tu commenceras à faire quelque chose de meilleur.

     

    Et à chaque fois que tu as mal, hey Jude, laisse tomber.

    Ne porte pas le monde sur tes épaules.

    Tu sais bien que c'est une folie, qui rend tout facile,

    Rendant son monde un peu plus froid.

     

    Hey Jude, ne me laisse pas tomber.

    Tu l'as trouvé, maintenant prends la.

    Souviens-toi, qu'il faut la mettre dans ton cœur,

    Après seulement les choses iront mieux.

     

    Laisse la sortie, laisse la venir, hey Jude, commence

    Tu attends quelqu'un pour jouer avec toi

    Et ne sais tu pas que c'est juste toi, hey Jude qui doit le faire,

    Le mouvement dont tu as besoin est sur ton épaule.

     

    Hey Jude, ne gâche pas tout,

    Prend une chanson triste et rend la meilleure.

    Souviens-toi qu'il faut la mettre dans ta peau,

    Et après seulement tu pourras la rendre meilleure.

     

    Mieux, mieux, mieux, mieux, mieux...



    THE BEATLES - HEY JUDE - - Jubii TV





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  • Ce nouvel an lunaire change chaque année entre janvier et février. Sur la porte d'entrée auréolée de rouge chacun a le coeur en fête en calligraphiant ses meilleurs voeux pour le Nouvel An. Au petit matin, petits et grands font exploser des centaines de pétards tout en tapant sur des tambours afin de faire fuir les mauvais esprits et notamment faire revivre une ancienne légende... 

     

    Au temps où les dragons puissants vivaient sur Terre ou dans les mers et océans, personne en Asie ne fêtait le nouvel an lunaire. Il y avait un village de pêcheurs où c'était même le plus mauvais jour de l'année : un homme avait tué un dragon des mers ! Tous savaient que cette chose terrible et malheureuse ne devait se pratiquer sous aucun prétexte sinon le fantôme du dragon hanterait le village devenu maudit chaque année à l'aube de ce nouveau jour...

     

    Au petit matin, et ce chaque année depuis le malheureux accident, le fantôme de ce dragon tué apparaissait, secouant sa lourde et hideuse tête à la crinière recouverte d'écailles rugueuses, la langue pendante, tout en  hurlant horriblement : « Je veux manger : j'ai très faim ! Apportez-moi un de vos fils qui vient de naître pour que je le  mange ! Vite, très vite ou alors, vous le regretterez fortement car je viendrais détruire vos récoltes, vos granges et votre maudit village ! 

     

    - Non ! Non ! Il n'est pas question que nous fassions une telle chose ! Nous ne te l'accorderons pas !, répliquèrent les habitants effrayés, les femmes en pleurs."Nous ne te laisserons pas d'enfant à incurgiter, méchante bête ! Nous te combattrons plutôt afin de sauver notre village."

     

    - "Ah, vous le prenez ainsi ? C'est ce qu'on va voir ! Je vous tuerai un par un jusqu'au dernier, vous y passerez tous puisque vous le prenez sur ce ton !" Le fantôme-dragon emplit tout son estomac et souffla très fort son haleine nauséabonte et bouillante en direction du village et de ses âmes si rebelles. La chaleur était si intense et les fumées si opaques que nul n'y voyait goutte : le 'brouillard' s'insinuait de partout alentour et les êtres humains se mettaient à crachoter, à tousser horriblement.

     

    Plusieurs femmes perdirent connaissance tant la peur tordaient leurs boyaux, certaines jeunes filles devenaient même hystériques, s'en compter les jeunes gens qui se rapetissaient sur place tant leur frayeur s'en trouvait grandie. Voyant tout ce remue-ménage, l'un des hommes d'un certain âge, l'un des sages de ce bourg de pêche, prit la parole d'une voix chevrotante et dit que ce fantôme-dragon pouvait aisément les tuer tous. Il constata qu'il valait mieux accéder à sa requête afin qu'il ne lui prenne point l'envie de se décider à débuter le carnage prédit. Il décida donc d'intercéder en sa faveur mais vraiment très à contre-coeur de lui offrir ce qu'il demandait si férocement, soit un petit enfant à peine né pour tenter de sauver le reste de ce si pauvre village. Il pensait faire une bonne action avec cette obole humaine ! Ainsi jamais plus ce dragon-fantôme ne réapparaîtrait, du moins le croyait-il, naïvement..

     

    Seulement, d'année en année, le fantôme-dragon réclamait : chaque année, une famille différente se sacrifiait en donnant son fils mâle pour plaire à cet animal et à son atroce chantage. Un jour vint où ce fut au tour cette année-là, de la jeune femme Wang, veuve de son état, de se retrouver à sacrifier son seul enfant, un petit garçon de cinq ans, seul bien de son défunt mari, mort en mer un jour de pêche particulièrement tumultueux. Selon la coutume préétablie, deux fois deux jours avant le nouvel an lunaire, le guide spirituel de philosophie taoiste partait du temple sur la colline qui surplombait le village et sa baie pour venir prendre le 'cadeau' et parcourait les rues jusqu'à la maison désignée qui offrait son premier enfant-né. Tandis qu'il se rendait à son triste travail, vers la crique, là où se situait la masure de la jeune veuve Wang, chacun des villageois se trituraient l'esprit pour savoir chez qui il s'arrêterait et avec hésitation, se posait cette question : "Vers quel logis peut-t-il bien marcher aujourd'hui ?" et une réponse outrée surgit tout à coup du regroupement :

     

    "Il stoppera chez la petite veuve Wang.", une autre voix féminine surgit de la troupe en colère :

     

    "Oh non, ce n'est pas humain cela ;  pas chez elle ! Elle vient de perdre son mari et c'est son seul enfant !Il faut faire quelque chose, on ne peut laisser faire ce chantage ignoble..."

     

    Les voisins de la jeune femme Wang s'étaient réunis autour de sa misérable demeure, pensant entendre des pleurs, des larmes, des paroles de douleur quand elle apprendrait le verdict final et sans appel. Rien. Rien ne filtrait de sa pauvre maison de pêcheur. Quand l'envoyé fut reparti, ses voisins immédiats se précipitèrent pour faire le constat de la désolation de la malheureuse victime. Ils la virent assise dans sa cuisine, triste mais aucunement le visage ravagée par les larmes. "Le messager des rites et coutumes vous a dit la mauvaise nouvelle pour vous de cette année qui va s'annoncer ?"

     

    - Oui bien entendu, il m'a délivré son acte en bonne et dûe forme," répond alors cette courageuse veuve, calmement et toute en douceur. Les autres ne comprennent décidément pas son détachement.

     

    - Mais, mais... Pourquoi, oui pourquoi ne vous lamentez-vous pas alors ? Cela serait normal, non ?

     

    - Parce que le temps m'est compté et que je ne puis le passer à pleurer" leur répond Wang. "Je réfléchis vivement à la manière de berner ce vilain fantôme-dragon. Car une chose est sûre : il n'aura pas mon cher fils."

     

    Les jours et nuits précédant l'évènement, elle tenta de rassembler ses idées, scrutant le sol et échafaudant un bon plan. Par nstants, elle regardait son fils s'amusant tranquillement dans la cour ; dans d'autres, elle se rendait pour prier aux pieds de l'autel de ses aïeuls ainsi qu'aux dieux protecteurs des femmes, des familles, des morts, des enfants. Son fils s'endormant sereinement, elle se mettait à son côté, le câlinant doucement tout en se disant qu'il ressemblait tant à son père. Elle consulta la guérisseuse, le chamman du village ou sorcier, les prêtres puis ceux de ses voisins et amis. Personne n'avait de véritable solution : le cas était perdu d'avance, quasi désespéré.

     

    Fatiguée, démoralisée, déprimée, la jeune mère épuisée s'effondre sur la terre battue du temple, face à l'autel des ancêtres de sa famille, le petit bien calé contre elle. Elle rêvait... rêvait... Finalement, elle dormit bien : beaucoup de rêves apparaissait en un ordre indéfini. Elle rêvait de dragons et de fantômes, elle voyait la peur et la douleur, elle imaginait des bébés innocents et la crainte, elle était entourée de sang et de très forts sons... la surprise et la joie : tout tourbillonnait dans son crâne tourmenté. Plusieurs heures avant l'instant fatal, elle se réveilla et secoua ses cheveux en un geste douloureux : sa tête avait trop rêvé. Tout d'uncoup, une idée fusa : le miracle allait poindre, enfin ! Elle savait vraiment ce qu'elle accomplirait : ses images devenaient un puzzle tout à fait clair !

     

    Les bêtes fantasmagoriques de son rêve étaient résolument effrayées par deux choses : le sang et les bruits assourdissants. Quand on a peur, on fuit droit devant. Le plan reste enfantin : le sang posé sur la porte du seuil, je taperai tant que le fantôme du dragon s'en retournera apeuré et s'enfuira à toutes pattes... Pour le sang...  étant pauvre, je ne possède pas un seul poulet...'' S'armant de courage, madame Wang prend un couteau pointu et fait une estafilade en sa main, faisant tomber les gouttes de son sang sur une étoffe jusqu'à ce qu'ensemble elles épongent le tissu. Elle ledéploie alors et l'accroche à l'extérieur tout autour de sa porte. Fière de sa trouvaille ingénieuse, elle cherche des ustensiles pour assourdir le 'monstre sanguinaire'...

     

    Aucun magasin ne se retrouve ouvert en ce jour : pas de pétards donc. Elle voit des bambous : une idée fuse. Elle en coupe une dizaine en grands morceaux et les dispose en une pyramide assez haute sur le devant de sa cour juste au-dessous du tissu entaché de sang. Ils brûleront  et éclateront tous à la fois telle une vraie patarade ! Le feu devra jaillir juste à temps et qu'il éclate à la face du fantôme-dragon. Pour cela, elle confectionne une petite torche et s'assied dans l'ombre de son seuil, guettant l'aube et la venue du dragon.

     

    Se dictant la patience, elle attendit. Tout était monstrueusement calme, si serein que seuls les coups de son coeur s'entendaient. Progressivement la lune et les étoiles disparaîssaient, laissant le ciel vide. Puis d'abort tout doucement, elle écouta un hurlement, celui du fantôme-dragon : il arrivait !

     

    " Dois-je prendre ma torche pour allumer le feu ? Non, il est encore un peu trop loin. Attendons..."

     

    Tout le bourg se trouvait caché dans les lits sous les couvertures élimées, tremblants de tous leurs membres. Aucun des habitants ne se reposait : la jeune veuve Wang affrontait seule le fantôme-dragon. Une unique personne dormait d'un sommeil d'ange : son fils ! Un long cri vint à ses oreilles : il était vers le bas du village. Elle alluma le feu à l'aide de sa torche et enflamma sa pyramide de bambous. Le sol vibrait sous le corps du fantôme-dragon qui marchait vers elle. Il arrivait à sa ruelle, s'approchant lentement... Devant chez elle,  il stoppe et regarde le linge ensanglanté, hurlant si violemment que ses os s'entrechoquent. Le feu de bambou pète : terrifié par la vue du sang et le feu  qui éclate, il s'enfuit en courant à travers le village !

     

    La veuve Wang s'assied les jambes coupées et des larmes se mettent à couler lentement sur ses joues. Les villageois la rejoignent alors. Les tambours frappent et les cloches sonnent : les  gongs du temple marquent en leurs sons graves le grand jour ; des pétards sortent des maisons et amusent petits et grands qui font éclater en même temps leur joie ! Depuis cet événement marquant, célèbre en toute l'Asie, lors de l'avènement de chaque année, dans tous les villages, même les plus petits, on entoure grâce à des papiers rouges les portes et on fait éclater des pétards le plus bruyamment possible dès l'aube ; depuis cette époque très reculée, le fantôme-dragon n'est pas revenu. Jamais... 



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  • Vers l’an 850, l’empereur de Chine en quête d’immortalité, entendu dire par des marchants de la route de la soie, qu’un fils de roi avait renoncé à son pouvoir de prince héritier. Et après des années de travail il eut atteint l’illumination et de par ce fait, le savoir après la mort. L’empereur fit savoir qu’il voulait le rencontrer. La nouvelle arriva jusqu’aux oreilles de Bodhidharma. (vous savez bien le fameux téléphone arabe, ça fonctionne sans électricité) quelques années après l’empereur de Chine reçu à sa cour un personnage habillé comme un mendiant, prétendant être celui qu’il avait demandé. L’empereur ne le crut pas, il rétorquait qu’un fils de roi ne se déplace pas sans sa garde, et de plus venir d’aussi loin sans tomber sous le joug des brigands, même si pauvre que l’on soit, est impossible. L’empereur le jeta dehors.

    En chemin Bodhidharma entendu dire que des moines étaient dans la même quête que lui, et se rendit dans le monastère à son retour vers son pays natal. Il y trouva des moines, gros, et malades. Les terres de la région sont grasses et bien arrosées, les récoltes sont abondantes et la quête de ces moines suscite grand intérêt auprès des notables de la région étant envieux de connaitre une longue vie, les dons affluaient de la part de ces notables et riches propriétaire de terrain.

    Il y resta 7 ans, Habitant est méditant dans une grotte dans la montagne. Il conçut des exercices corporels en observant comment les animaux faisaient pour se soigner et entretenir leur corps. C’est ainsi qu’il conçut le Qi Gong des animaux pour une meilleur santé. Un jour par un hiver rigoureux les moines ne virent pas venir Bodhidharma, craignant qu'il ne soit mort de froid, les moines décidèrent de monter à la grotte, il découvrit Bodhidharma dehors, presque nu, en position d'embrasser l'arbre, la neige avait fondu autour de lui sur un mètre de circonférence. C’est ainsi qu'il démontra  le pouvoir du Qi. (Énergie qui  vital et qui régis l'univers)

    A la cour de l’empereur les récits du mendiant venu comme étant l’illuminé restait dans les faits des récits à rire en tant que moquerie, mais les rumeurs étant à double histoire, il fut aussi entendu que c’était bien le fils du roi ayant atteint l’illumination qui était venu à la cour, Ce roi était réputé dans l’inde pour appartenir à une caste de guerriers réputés, c’est pour cela que le fils détenant cette forme d’art martial pu venir sans escorte jusqu’à la cour de l’empereur sans tomber sous le joug des brigands. Sachant qu’il s’était arrêté au temple de Shaolin, des grands guerriers en voulurent en savoir plus sur son savoir de l'art du combat, et se mélangèrent aux moines du temple, le mettant au défit dans des combats. Bodhidharma étant plein de sagesse, acceptait les défits mais pas sans condition, si lui gagnait, ils devaient rester au service du temple. Ainsi le Kun fu commença.

    Quant aux points sur la tète des moines de Shaolin, se sont des brulures faites avec de l’encens. Le premier point situé au milieu, à la base de la chevelure, en haut du front représente sept ans ou Bodhidharma resta à Shaolin, 7 ans de travail à respecter les règles bouddhistes mis en place par le temple. Puis chaque point représente trois ans, trois mois, trois semaines, trois jours. On retrouve ces règles chez les lamas tibétains. En tous, ces sept points représentent l’accomplissement d’un travail de recueil envers leur foi, soit plus d’un quart de siècle …j’en ai vu avec plus de sept points, ailleurs qu’au temple de Shaolin, au service dans d’autres lieux bouddhiques.

    Les récits au  court des temps sont enjoliver pour en faire des contes et des légendes, En ces temps là, il est sûr qu’il ne fallait pas trop s'aventurer, seul, dans des contrées méconnues sans être bien accompagnés. Et s'est encore d'actualité.

     


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  • Apprendre le vietnamien en vous amusant

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  • APPRENDRE A LIRE ET A ECRIRE LE THAI



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